L’élément sous-estimé de la politique de la santé
La Suisse n’investit qu’environ 2,5 % des dépenses de santé dans la prévention, alors même qu’il serait primordial – au vu du débat sur l’augmentation des coûts de la santé – d’accentuer les efforts en la matière. En effet, les maladies qui coûtent le moins cher sont celles qui ne se développent pas.
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